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♩ ♫ ♪ ♪ ♫ ♪ ♫ ♭ « Mon amour est parti avec le loup … »
Sans doute la plus belle des 3 journées, vu le beau temps et la douceur des températures…
..et cerise sur le gâteau, nous avons dormi 1 h de plus et nous avons même pu faire une
petite grasse matinée, car départ à 9h00 seulement !
Enfin 9h00 + quelques minutes de plus, à cause de quelques bidons qui n’étaient pas pleins,
malgré les consignes du road-book ...et Jean-Marc de nous rappeler :
« Il faut lire votre road-book » !
Donc direction ROCAMADOUR par de magnifiques petites routes sinueuses.
Arrivée sur le belvédère pour la photo de groupe, puis direction le parking de notre restaurant
du midi pour garer nos motos en sécurité.
Un salon privé est mis à notre disposition pour déposer nos équipements de manière à pou-
voir trabouler librement dans la ville avant le déjeuner : la classe (bravo l’organisation).
2 options possibles pour accéder à la balade sur le chemin de croix situé sur les hauteurs :
- soit monter à pied par les escaliers…il parait que certains pèlerins les montent à genoux (non
mais faut pas déconner non plus !),
- soit prendre l’ascenseur.
Très peu de candidats par les escaliers, l’ascenseur ayant été préféré très largement (pas très
tonic les bikers today). Puis une 3e option a été improvisée par une petite poignée : rester en
bas à la terrasse du café en sirotant une bonne petite mousse.
Après cette visite et s’être restauré, direction les berges du Lot avec là aussi 2 options possi-
bles pour terminer la journée :- balade sur le chemin de halage de Bouzies, le long du fleuve,
- ou visite libre du petit village de Saint-Cirq-Lapopie.
En fin d’après-midi, tout le monde est de retour au bercail (Même les PanAm : pas d’ennui
mécanique aujourd’hui) pour ne pas rater le grand apéro : tiens, là, c’est bizarre, mais curieu-
sement, il n’y a pas de loupé pour ce RDV ! Un bon dîner divinement bien préparé et cuisiné
par notre « maître cuisinier » qui, comme la veille au soir, nous raconte les petites anecdotes
de CAJARC. Ce soir, c’est au tour de Mme CLAUDE, de son établissement ouvert sur les hau-
teurs du village et de ses « petits carnets » qui lui ont épargné la prison. Retour dans les
chambres, car demain, c’est le grand retour…et pas de 2e grasse matinée de prévue !
Gilles ARRIGONI